The Office (US)
Le quotidien d'un groupe d'employés de bureau dans une fabrique de papier en Pennsylvanie. Michael, le responsable régional, pense être le mec le plus drôle du bureau. Il ne se doute pas que ses employés le tolèrent uniquement parce que c'est lui qui signe les chèques. S'efforçant de paraître cool et ...
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Terminée | Américaine | 22 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, Canal+ | 2005 |
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4.02 - La course - Partie 2
Fun Run (2)
Michael vit avec Jan, tandis que Jim a rompu avec Karen. Lorsque Michael arrive au bureau, il renverse accidentellement Meredith avec sa voiture. Pendant son séjour à l'hôpital, les médecins suspectent qu'elle a possiblement été contaminé par la rage. Michael décide alors d’organiser un grand marathon à Scranton pour lutter contre cette maladie. Parallèlement, Jim et Pam sont surpris par l'équipe de documentaire et leur avouent qu'ils commencent à se fréquenter, mais ils préfèrent cacher la vérité à leurs collègues.
Diffusion originale : 27 septembre 2007
Diffusion française :
27 septembre 2007
Réalisat.eur.rice.s :
Greg Daniels
Scénariste.s :
Greg Daniels
Guest.s :
Jackie Debatin
,
Justin Spitzer
,
Marcus A. York
,
Omi Vaidya
,
Rashida Jones
,
Robert R. Shafer
,
Silvia McClure
,
Takayo Fischer
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 18 novembre 2019 à 21:22 |
En effet, c'est mieux que l'épisode précédent, sans être au top de l'humour malgré tout. Le concept de la course pour une maladie qui n'existe quasiment plus est plutôt drôle, mais on est encore sur du déjà-vu côté Michael. Heureusement que les duos Jim/Pam et Angela/Dwight apportent un peu de fraîcheur à l'épisode. |
Avis favorable | Déposé le 05 octobre 2014 à 22:40 |
... heureusement, c'était beaucoup plus drôle dans cette 2ème partie ! Chaque personnage avait son intrigue sympa, ça remonte le niveau du début de l'épisode... |
Ce n'est pas dans cet épisode que c'est le plus flagrant, mais j'ai vraiment du mal avec la façon dont le personnage de Toby est traité, alors que c'est le plus "normal", essayant d'être qq de bien dans ce monde de dingos égocentriques